Quai : sécurité et travaux

Les travaux de réaménagement du quai se déroulent bien. Le brise-lames et certaines sections d’enrochements sont avancés. L’entrepreneur construit quatre grands encaissements en bois. D’un poids allant jusqu’à 55 tonnes chacune, ces structures sont érigées sur le quai. Puis, à l’aide de rails, elles sont glissées à l’eau. Pour les fixer à leur position, l’entrepreneur devra encastrer la moitié de leur largeur, 18 pieds, dans le quai. Il terminera cette partie en ajoutant de la roche à l’intérieur de l’ouvrage. Au final, ce mur de 180 pieds de long composera la façade verticale dédiée à la pêche au maquereau.

Cet été, l’entrepreneur débutera la section interne du quai, soit l’installation de nouvelles palplanches (les parois d’acier) à 1,5 m de celles existantes.

Pour des raisons de sécurité, l’accès au quai est interdit en tout temps. Seuls les pêcheurs commerciaux peuvent aller dans cette zone de chantier. Pour cette raison, la barrière limitant l’accès peut parfois être ouverte. On demande toutefois à la population de respecter la directive de sécurité.

Le secteur de la marina, la rampe de mise à l’eau, le chemin menant à la cabane à Eudore et la piste cyclable demeurent accessibles.

Un des quatre encaissements de bois qui sont installés pour la section de pêche au maquereau.

Rencontre avec les gens d’affaires

Rencontre avec les gens d’affaires

Une vingtaine de personnes ont participé à la rencontre de réflexion avec les gens d’affaires organisée par la Ville le 2 mai dernier. Cette rencontre s’inscrit dans le chantier Vitalité des gens d’affaires qui découle de la planification stratégique. Plusieurs enjeux communs ont été mentionnés et les participants ont réfléchi ensemble aux meilleurs moyens de favoriser la communication entre les gens d’affaires et avec la Ville.

 

Budget participatif – Explication et formulaire

Le budget municipal de 2020 prévoit  un montant de 50 000 $ aux fins du budget participatif, dont 40 000 $ dans le volet grand public et 10 000 $ dans le volet jeunesse. Dans un processus de démocratie participative, ce budget permet aux citoyens d’affecter une partie du budget municipal à deux projets d’investissement.

Information sur le budget participatif…

Carleton-sur-Mer lance sa démarche de budget participatif le 23 avril prochain

La Ville de Carleton-sur-Mer invite les citoyens et les citoyennes à assister au lancement du budget participatif lors d’une rencontre publique le mardi 23 avril prochain à 19 h au Quai des arts. Événement Facebook…

« Le citoyen est au cœur de la vie municipale, affirme le maire Mathieu Lapointe. C’est pourquoi le conseil municipal de Carleton-sur-Mer invite cet acteur de premier plan à participer à de nouveaux projets avec le budget participatif. » Cette démarche permet aux décideurs de mieux connaître et répondre aux besoins de la communauté.

La rencontre publique présentera les étapes du processus. L’équipe municipale sera sur place pour informer les citoyens sur les critères de recevabilité et les modalités de participation.

Dans un processus de démocratie participative, ce budget permet aux citoyens d’affecter une partie du budget municipal à deux projets d’investissement : un pour les citoyens et un pour les jeunes. «  Le budget participatif, c’est aussi un processus éducatif, précise le directeur général, Antoine Audet, loin d’exclure les élus et les professionnels, il va plutôt inclure le citoyen dans l’équipe municipale. »


Le budget participatif est un projet qui s’inscrit dans un des chantiers de la planification stratégique présentée à la communauté en décembre dernier.

Gens d’affaires, à vous la parole!

Commerçants, travailleurs autonomes, gens d’affaires, rendez-vous le jeudi 2 mai, de 8 h à 9 h 30, à la salle de répétition du Quai des arts. Événement Facabook…

L’automne dernier, la Ville présentait publiquement sa planification stratégique. Ce plan, qui oriente le développement de la ville pour les 5 prochaines années, est le résultat d’une vaste consultation. La communauté d’affaires y a participé. Elle a exprimé son désir que les communications avec la Ville soient accrues et que des projets collectifs avec la communauté d’affaires puissent émerger. Afin de mettre en œuvre les propositions qui sont ressorties de la consultation publique, le chantier Vitalité des gens d’affaires a été créé.

Comme première action, ce chantier convoque les gens de la communauté d’affaires à réfléchir sur les meilleures façons de répondre aux besoins exprimés.

Parc La Grande-Envolée : Toponyme coup de cœur

Le parc La Grande-Envolée fait partie des toponymes coup de cœur de la Commission de Toponymie. Celle-ci en a désigné douze parmi les 1500 noms qu’elle a officialisés durant l’année précédente.

Selon Ginette Galarneau, présidente de la Commission, le nom parc La Grande-Envolée contribue à la richesse du vocabulaire géographique du Québec. Il a été choisi pour son originalité, sa relation pertinente avec le lieu qu’il désigne et sa capacité à inspirer des idées ainsi que des images fortes.

Le nom du parc avait été retenu à la suite d’un concours tenu dans les écoles primaires locales et lancé en 2017 par la Ville lors des célébrations entourant le 250e anniversaire de sa fondation. La Ville avait invité chaque classe des écoles Bourg et des Audomarois à soumettre deux noms pour chacun des parcs.

Le comité de toponymie municipal a par la suite choisi le nom à adopter parmi les propositions reçues.


Photo : Sarah Lacroix

Place publique inspirante

La Ville de Carleton-sur-Mer a inauguré le parc La Grande-Envolée le 23 juin 2018. Ce parc borde le magnifique barachois de Saint-Omer. Tout ornithologue avisé connaît ce barachois, désigné refuge d’oiseaux migrateurs par Environnement Canada. L’œuvre de Caroline Dugas et Magali Dal Cin, La bernache, qui est apposée sur le préau réfère à cette richesse naturelle. Des jeux pour enfants démontrent la place laissée aux enfants, à leur avenir, à leur envolée.

Un système d’autopartage verra le jour à Carleton-sur-Mer

Carleton-sur-Mer pourra offrir un véhicule électrique en autopartage d’ici 2020 grâce au projet SAUVéR (système d’autopartage avec véhicule électrique en région). La Ville a été sélectionnée pour joindre les rangs des 16 municipalités participantes au Québec.

Grâce à ce projet innovateur, la Ville de Carleton-sur-Mer acquerra un deuxième véhicule électrique, mettra en place un système de gestion de l’autopartage et aménagera une première station-service électrique (SSé) évolutive en Gaspésie. Les employés municipaux utiliseront ce véhicule au travail et l’automobile, lorsqu’elle sera disponible, sera à la disposition de la collectivité.

Le coût du projet est estimé à 116 000 $, dont 41 000 $ est financé par la Ville et 75 000 $, par le gouvernement fédéral.

Pour le maire, Mathieu Lapointe, les municipalités jouent un rôle déterminant face aux changements climatiques. « Elles pavent la voie en matière de solutions novatrices, dit-il. Carleton-sur-Mer est fière de réaliser ce projet visant à bâtir des collectivités plus durables et plus résilientes. Nous souhaitons agir afin de réduire nos impacts environnementaux le plus possible. Partager un véhicule municipal avec les citoyens, c’est un geste concret et mobilisateur, qui s’inscrit dans notre volonté de développer la mobilité durable de nos citoyens et citoyennes. »

AMÉLIORER LE TRANSPORT POUR AGIR SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

Le Projet SAUVéR oeuvre pour électrifier les transports afin d’apporter des solutions face à trois grands enjeux :

1. Intégrer des véhicules électriques dans les flottes municipales et dans les communautés.

2. Optimiser l’utilisation de véhicules électriques dans les flottes municipales.

3. Aménager des SSé pour créer une route électrique verte.

Investir dans les infrastructures respectueuses de l’environnement aide les collectivités à réduire leur empreinte carbone et à augmenter leur résilience aux changements climatiques. Cela permet aussi de préserver la santé publique, de protéger l’environnement et de créer une économie axée sur la croissance écologique.

La forme d’autopartage privilégiée dans le projet SAUVéR fait partie des solutions d’avenir. Comme modèle de transport collectif, il contribue à briser l’isolement, à maintenir l’autonomie des aînés ainsi qu’à l’intégration des personnes à mobilité réduite. Selon M. Lapointe, « un système de transport collectif fonctionnel permet d’augmenter le taux de rétention de la population en région et améliore l’attractivité des municipalités ».

Le projet ainsi que les systèmes SAUVéR et SSé ont été conçus par la firme YHC Environnement. C’est la Société d’innovation en environnement qui gère le projet.

Séquence des travaux au chantier du quai

La phase des préparatifs du chantier du quai est terminée et l’entrepreneur a démarré les travaux de reconstruction. Déjà, les ouvriers ont démantelé le feu de navigation, communément appelé la « light ». À la fin des travaux, un nouveau feu sera installé à l’extrémité du futur brise-lames.

CALENDRIER PRÉLIMINAIRE

Le ministère des Pêches et Océans prévoit un calendrier de réalisation selon la séquence des travaux qui suit. Des modifications peuvent être apportées à cet horaire  :

D’ICI LA FIN JUIN 2019

  • enrochement de l’extrémité du quai;
  • construction du brise-lames;
  • construction de la façade verticale en bois sur le côté externe du quai. Cette section sera réservée à la pêche récréative et sera cédée à la Ville à la fin des travaux en même temps que l’extrémité;
  • enrochement de la partie restante de la façade externe du quai, jusqu’à l’angle;

ÉTÉ

  • reconstruction des façades internes du quai, côté marina.  Il s’agit de planter de nouvelles palplanches à 1,5 m des anciennes;
  • apposition d’un produit de protection sur les façades en palplanches situées de chaque côté du début du quai, avant l’angle;

AUTOMNE

  • abaissement partiel et reconstruction du tablier, électricité, eau, équipements, accessoires, entre autres;

PRINTEMPS 2020

  • période prévue pour terminer certains travaux.

USAGE RESTREINT AUX PÊCHEURS COMMERCIAUX

Le quai sera donc une zone de chantier durant toute l’année 2019, incluant la période estivale. La circulation des piétons et des véhicules sera interdite sur le quai, sauf pour les pêcheurs commerciaux.

ACCÈS AUX INFRASTRUCTURES À PROXIMITÉ

Bien que la circulation de la machinerie lourde se poursuivra durant la saison touristique, les accès à la marina et au site de la cabane à Eudore seront maintenus, de même que l’usage de la piste cyclable. La collaboration de tous les usagers sera utile pour veiller à la sécurité des travailleurs, comme des résidents et des visiteurs.

Projet du quai – Le chantier se met en branle

Une étape importante vient d’être franchie dans le dossier du quai : le ministère des Pêches et Océans Canada (MPO) a confié le mandat de construction du quai aux Entreprises PEC, une entreprise de la Baie-des-Chaleurs, à un coût de 9,3 M$. Le montant est inférieur à ce que la Ville avait déjà présenté, mais le projet demeure le même. Cela s’explique ainsi :

  • Au tout début du projet, la Ville avait estimé un coût de réalisation global à 23 M$. À l’époque, la Ville prévoyait être responsable des travaux;
  • Le MPO est désormais le maître d’œuvre. Ainsi, le ministère a pris en charge différents frais, notamment les plans d’ingénierie, l’arpentage, le notariat, le contrôle de la qualité, les études d’impact, les compensations environnementales et les taxes. Ces réalisations sont restées dans le projet global, mais n’apparaissent pas dans les coûts de construction.  Il faut distinguer coût de réalisation et coût de construction;
  • Le contrat de construction octroyé aux entreprises PEC exclut l’achat du bois nécessaire à la construction de la façade verticale dédiée à la pêche récréative et à une partie du tablier du quai. Le MPO fournira ce matériau à l’entrepreneur par l’entremise d’un appel d’offres distinct.

En somme, ces modifications se traduisent par des économies substantielles dans le coût de construction par rapport au coût de projet global et c’est, en grande partie, ce qui explique que les 7 soumissions déposées au MPO aient varié entre 9,3 M$ et 16 M$.

La phase récréotouristique
Maintenant que la réalisation du projet du MPO est enclenchée, la Ville va, comme prévu, travailler à terminer le volet récréotouristique du secteur portuaire. De son côté, le Club nautique pourra élaborer son projet de réaménagement de la marina grâce à l’ajout du brise-lames. Avec de telles infrastructures, Carleton-sur-Mer deviendra un véritable pôle maritime régional.

Le chantier
Le vaste chantier qui débutera bientôt aura un impact ressenti par les usagers du quai. La Ville va discuter avec l’entrepreneur afin de réduire cet impact le plus possible. Les entreprises PEC prévoient s’installer au cours des prochains jours, de façon à débuter les travaux à la fin janvier. Selon l’appel d’offres, les travaux doivent se terminer au plus tard en juillet 2020. Afin d’accommoder l’entrepreneur durant les travaux, la Ville lui a loué un terrain à proximité du quai.

Ville de Carleton-sur-Mer

Carleton-sur-Mer lance sa démarche de budget participatif le 23 avril prochain

La Ville de Carleton-sur-Mer invite les citoyens et les citoyennes à assister au lancement du budget participatif lors d’une rencontre publique le mardi 23 avril prochain à 19 h au Quai des arts. Événement Facebook.

« Le citoyen est au cœur de la vie municipale, affirme le maire Mathieu Lapointe. C’est pourquoi le conseil municipal de Carleton-sur-Mer invite cet acteur de premier plan à participer à de nouveaux projets avec le budget participatif. » Cette démarche permet aux décideurs de mieux connaître et répondre aux besoins de la communauté.

La rencontre publique présentera les étapes du processus. L’équipe municipale sera sur place pour informer les citoyens sur les critères de recevabilité et les modalités de participation.

Dans un processus de démocratie participative, ce budget permet aux citoyens d’affecter une partie du budget municipal à deux projets d’investissement : un pour les citoyens et un pour les jeunes. «  Le budget participatif, c’est aussi un processus éducatif, précise le directeur général, Antoine Audet, loin d’exclure les élus et les professionnels, il va plutôt inclure le citoyen dans l’équipe municipale. »

Le budget participatif est un projet qui s’inscrit dans un des chantiers de la planification stratégique présentée à la communauté en décembre dernier.